La rencontre qui rentre dans la cadre des activités de la onzaine de la jeunesse, s’est tenue ce 9 février en présentiel et en ligne entre les responsables du Minjec et les jeunes.
permettre l’appropriation des termes liés à la citoyenneté numérique, permettre aux jeunes de développer leur sens d’analyse de l’information et leur esprit critique en vue d’identifier et de combattre les Fake news, amener les jeunes à construire des discours alternatif face aux discours de haine, sensibiliser les jeunes sur les conséquences de la cybercriminalité, faire comprendre comment le monde numérique fonctionne et son impact, amener les jeunes à identifier des actions concourant à les autonomiser et à promouvoir la cohésion nationale par l’usage des médias et doter les jeunes de compétences en communication des risques. Voici quelques objectifs spécifiques du webinaire organisé ce 9 février dans le cadre des activités de la onzaine de la jeunesse.
Des échanges entre les responsables du ministère de la jeunesse et les jeunes, on retient que <<Le numérique Chari deux notions entre les peuples à savoir le rapprochement d’une part et la séparation d’autre part>> explique le Dr ISSEKIN Yvan. Selon l’expert, dans sa leçon inaugurale, « le numérique peut être à l’origine de la division des peuples. Considérant le numérique dans son rôle de division des peuples, il renseigne qu’il existe une certaine fracture numérique entre les différents pays, eu égard à la disponibilité des serveurs et de technologie, il existe une véritable disparité entre les peuples, qui peut créer des tensions. Ce clivage est également observable au niveau des jeunes et des vieux. Ce qui révèle le caractère conflictuel de l’économie numérique, où les uns sont nantis plus que d’autres ».
La rencontre qui se tenait en présentiel et en ligne aura en tout cas permis aux jeunes participants de s’approprier l’usage responsable et productif des médias par les jeunes pour leur participation effective au développement de la société, au renforcement de la cohésion nationale et à la gestion des crises.