L’’atelier de formation organisé par le président de l’Union Générale des Travailleurs du Cameroun (UGTC) entre dans son deuxième jour ce 24 Mai à Yaoundé. Sous la houlette d’Isaac Bissala, président de l’UGTC, une vingtaine de syndicalistes de la Bicec se sont réunis pour discuter de l’amélioration de la productivité au sein de leur entreprise.
La productivité, clé du développement
“Nous sommes là pour échanger sur la productivité, un outil pour le développement de l’entreprise,” a déclaré Isaac Bissala. “Nous sommes en train de montrer les bienfaits de la productivité.” Ces formations, tenues régulièrement, visent à sensibiliser les travailleurs sur les attentes de l’entreprise à leur égard. “Il faut qu’ils soient formés pour qu’ils puissent apporter le meilleur d’eux-mêmes au sein de leur entreprise,” a-t-il ajouté.
Un programme riche et diversifié
Le programme de l’atelier couvre des sujets cruciaux tels que la productivité au sein de l’entreprise, le dialogue social et la productivité, le rôle de la dignité dans le règlement des conflits, et le rôle des travailleurs au sein de l’entreprise. Ces discussions sont essentielles pour que les employés comprennent non seulement ce que l’entreprise attend d’eux, mais aussi comment ils peuvent contribuer de manière significative à son succès.
L’impact sur l’emploi
Le but ultime de ces formations est l’amélioration de l’entreprise et sa contribution à la lutte contre le chômage. “Le but recherché est que cette entreprise s’améliore et participe à la lutte contre le chômage,” souligne Bissala.
Une portée nationale
L’UGTC, qui regroupe près de 19 secteurs d’activités, étend son influence à travers les 10 régions du Cameroun, démontrant l’importance nationale de telles initiatives.
Cet atelier de formation est un pas de plus vers l’atteinte d’une productivité optimale, essentielle pour le développement économique du Cameroun. Les efforts d’Isaac Bissala et de l’UGTC pour former et conscientiser les syndicalistes de la Bicec sont un exemple éloquent de la manière dont le dialogue et l’éducation peuvent transformer le paysage économique d’une nation.