Depuis la signature de l’arrêté portant lancement du concours d’entrée, Bertrand Pierre Soumbou Angoula, Directeur de l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), fait face à une campagne de sabotage orchestrée par des individus malveillants. Ces attaques, relayées par certains médias, activistes sur les réseaux sociaux et panélistes, visent à ternir son image et à entraver ses réformes.
Selon nos enquêtes, Soumbou Angoula paie le prix de sa compétence, de sa loyauté au chef de l’État, Paul Biya, et de ses origines. Les réformes qu’il mène avec succès à l’ENAM dérangent certains cercles maffieux habitués à prospérer dans un environnement de médiocrité, de délation, de trafic d’influence et de corruption. Un enseignant analyse : « Le directeur général de l’ENAM est l’homme à abattre en raison des réformes qu’il mène avec brio, sous l’impulsion du chef de l’État, Paul Biya ».
Depuis sa nomination par décret présidentiel en 2018, Soumbou Angoula s’est engagé à faire rayonner l’ENAM au-delà du Cameroun, conformément aux directives du président de la République. Cette prestigieuse école a récemment été choisie pour former des comptables matières au Gabon, un partenariat qui sera bientôt signé. Une délégation gabonaise a séjourné à Yaoundé du 5 au 13 août 2024 pour finaliser les préparatifs. Ce partenariat permettra de former 1500 Gabonais.
Les retombées d’un travail acharné:
Une coopération fructueuse
Pour l’année académique 2024-2025, huit magistrats de la Cour des comptes centrafricaine bénéficient d’une formation à l’ENAM. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un accord de coopération signé le 17 avril 2024 entre le ministère centrafricain de la Justice et l’ENAM. Cet accord témoigne de la confiance accordée à l’ENAM pour la formation des magistrats financiers, un domaine où l’école excelle.
Une école sollicitée
Sous la direction de Bertrand Pierre Soumbou Angoula, l’ENAM est devenue une référence en matière de formation des personnels des administrations publiques en Afrique centrale. Des pays comme le Congo envoient régulièrement leurs magistrats se former à l’ENAM, consolidant ainsi son statut de leader et augmentant ses recettes propres.
Des attaques infondées
Cependant, cette réussite ne plaît pas à tout le monde. Des activistes, apparemment manipulés par un cabinet noir, diffusent de fausses informations sur les réseaux sociaux. Ils prétendent que le personnel de l’ENAM accuse des arriérés de salaire et que Soumbou Angoula serait en villégiature en Chine. En réalité, le directeur général participait à un séminaire-atelier à Shaanxi du 21 au 31 juillet 2024, où il a présenté des projets importants pour l’ENAM.
Récemment, les conditions de travail du personnel et l’environnement des études à l’ENAM se sont progressivement améliorés. Sous l’impulsion du Directeur Général, Bertrand Pierre Soumbou Angoula, plusieurs infrastructures ont été rénovées, notamment les amphithéâtres, le gymnase, les aires de jeux, les parkings, ainsi que les bâtiments administratifs et pédagogiques. De plus, huit nouvelles salles de classe en matériaux préfabriqués ont été mises à disposition des étudiants, accompagnées de nouveaux équipements roulants.
Un observateur averti note que l’ENAM a fait un bond en avant significatif tant sur le plan des infrastructures que de la formation. Grâce au Projet d’appui régional à la formation des cadres des impôts et des douanes (Parfid), l’institution a modernisé ses programmes de formation pour répondre aux exigences contemporaines des administrations fiscales et douanières. Par ailleurs, des efforts ont été faits pour démanteler les poches de corruption, ce qui a provoqué la colère de certains affairistes.
Le lancement du concours 2024 a déclenché une vague de critiques et de lynchage sur les réseaux sociaux et dans certains médias à l’encontre de Soumbou Angoula. Malgré ces attaques, une source fiable affirme que le Directeur Général reste déterminé à accomplir la mission confiée par le chef de l’État : faire de l’ENAM une référence en Afrique.
