Le faux gendarme impliqué dans tous les coups foireux de la République du Cameroun dont l’assassinat du journaliste Martinez Zogo, l’escroquerie en bande organisée de l’affaire faux contre amiral Fouda, et biens d’autres crimes qui font de lui aujourd’hui un citoyen hyper dangereux dont la place n’est plus ni moins qu’en prison. Ce faux gendarme manipulé par certains magistrats a déposé une plainte contre le commissaire du gouvernement auprès du tribunal militaire de Yaoundé Cerlin Belinga. Voici l’histoire funeste d’un repris de justice multirécidiviste.
08 plaintes contre Ekassi Alain au tribunal centre administratif de Yaoundé , 02 plaintes au tribunal militaire de Yaoundé. Voilà la vie d’un faux gendarme qui fait du chantage à tout le monde et qui par miracle est toujours en liberté. Après avoir pratiqué livré Martinez Zogo à l’abattoir, parce que, ce dernier est clairement identifié dans une des dernières photos prise du défunt tragique de l’ex directeur chef de chaîne d’amplitude FM à Yaoundé, Ekassi a réussi miraculeusement à se sortir de cette macabre affaire tout comme il l’a fait pour toutes les affaires de meurtre, d’escroquerie, d’affairisme, d’extorsion volontaire dans lesquelles il est impliqué depuis des années.
La dernière en date qui a choqué plus d’un Camerounais, l’affaire du faux contre amiral dans laquelle lui et son ami Mbapou étaient des cerveaux, après des aveux officiels de leur mode opératoire dans les médias. Toutes ses victimes se disaient que le ciel va enfin exaucer leur prière, de voir enfin ce mafieux derrière les barreaux. Mais comme dans l’affaire de l’assassinat de Martinez Zogo, Alain Ekassi, le faux gendarme a encore tiré son épingle du jeu de massacre auquel il s’est livré dans toute la République du trafic d’influence, de meurtre et d’escroquerie. Aujourd’hui comme un hôpital qui se fout de la charité, voici le diable qui s’habille en Prada à l’église et qui décide d’aller porter plainte à celui qui a été mandaté par le peuple à travers le chef de l’État de mettre hors état de nuire, tous les bandits de son espèce.
Cerlin Belinga, le vertueux commissaire du gouvernement est traîné devant les tribunaux par Alain Ekassi, qui en réalité ne joue qu’un rôle de prête nom. Ce dernier n’a ni l’étoffe, ni les arguments nécessaires pour intenter une action judiciaire contre le procureur militaire, Cerlin Belinga. L’on aura bien compris qu’il s’agisse là, d’une couverture, il joue simplement le rôle du bandit qu’il est pour couvrir le vrai chef bandit qui se cache derrière lui. Voilà un homme qui sème le trouble partout dans la République et qui bénéfice de la protection de ses employeurs de l’ombre qui sont certains ponts du régime et certains officiers hauts gradés véreux de l’armée Camerounaise.
Alain Ekassi n’a pas fait que déposer plainte contre le Commissaire du gouvernement près du tribunal militaire de Yaoundé. Il a aussi recruté un autre prisonnier récidiviste, maître chanteur, qui se cache toujours derrière son handicap pour se passer pour un homme sans défense. Mbombock Matip, l’homme qui croit qu’il doit saboter les personnalités pour vivre et pense qu’être handicapé lui procure une immunité naturelle . Il est depuis en certain temps en mission commandée sur les réseaux sociaux à travers des vidéos pour salir l’image du commissaire du gouvernement, qu’il traite de corrompu sans nous présenter la moindre preuve. Demain quand la justice lui mettra le grappin dessus pour qu’il aille démonter ses dires devant le procureur, ce sera comme on dit au quartier les « pleurs du mbolé partout au village ».