C’est sous la conduite éclairée du ministre de la promotion de la femme et de la famille (minproff) Marie Thérèse ABENA ONDOUA, que s’est célébrée ce 22 novembre 2022 à Yaoundé la 10 ème édition de la journée internationale des droits de l’enfant (JIDE) au côté du représentant Pays UNICEF et de Johnson Bien-aimé, représentant Pays PLAN International.
Placé sous le thème « Pour un monde égalitaire et inclusif« , un dîner de presse a servi de cadre aux participants professionnels des médias de s’approprier les maux des enfants dans l’ensemble du territoire Camerounais.
De manière concrète, durant ce temps d’échange, il s’est agit tout d’abord pour l’organisateur PLAN International, de présenter la situation du Cameroun vis à vis des conventions internationales et particulièrement celles liées aux droits des enfants et par ailleurs éclairer les hommes et femmes de médias sur les problématiques qui plombent l’épanouissement des droits des enfants au Cameroun de manière générale et dans cette région spécifique.
Pour ainsi dire, le Cameroun a fait sienne la préoccupation de protéger les enfants en ratifiant plusieurs instruments juridiques y afférents depuis 1996.
Ainsi, afin « d’œuvrer pour un monde juste qui fait progresser le droit des enfants et l’égalité pour les filles, il est attendu des médias une vulgarisation tout azimut de ses instruments et une sensibilisation sans faille d’où les attentes portées sur de nouvelles stratégies de luttes contre les atteintes aux droits de l’enfant.
Pour Marie Thérèse ABENA ONDOUA Minproff,
« Ce sont des textes importants qui sont nécessaires, que tout le monde doit connaître sur la protection des droits de l’enfant. Les enfants ont des obligations certes ils ont aussi des droits qui sont régulièrement bafoués. Vous devez le relayer au niveau communautaire à travers vos réseaux. aussi, c’est pour vous permettre d’avoir la bonne information sur les droits de l’enfant qui sont bafoués tous les jours« .
Pour Johson Bien Aimé, représentant pays Plan Cameroun
« Cet atelier est important en dépit de tous les efforts consentis à date, il existe toujours des poches de résistance dans les régions où ça ne progresse pas où il y a toujours les formes de discrimination ou de violence spéciales à l’égard des filles, et c’est l’une des raisons qu’on avait demandé aux garçons et aux hommes de nous aider dans ce sens et de travailler avec nous pour protéger, sécuriser la jeune fille« .
Nul doute donc de croire que rien n’est fait pour offrir un avenir radieux aux enfants et particulièrement les jeunes filles, au moment où les signes indiquent l’avancée d’une société égalitaire et inclusive.
Gervais Fredy MEMANA