Cameroon Digital BoosT : Le Pr. Lambert SONNA MOMO présente la technologie qui identifie une personne par les veines du doigt

Au cours du lancement de la 2^e édition du Cameroon Digital Boost ce 6 juillet, les camerounais de la diaspora ont partagé leurs  différentes expériences sur les dernières technologies dans le domaine du numérique. Pour Lambert sonna Momo, il faut désormais identifier une personne par les veines du doigt. Une technologie qui selon lui, résouds plusieurs problèmes.

Le Cameroon Digital Boost donne l’opportunité aux camerounais de la diaspora, de partager avec les camerounais, les  travaux réalisés à l’extérieur dans le domaine du numérique. Au cours de cette cérémonie de lancement de la 2^e édition, Le Pr. SONNA MOMO, a présenté la dernière technologie d’identification biométrique qui existe actuellement dans le monde. D’après lui,  il faut désormais identifier une personne par les veines du doigt. Pour, lui, cette nouvelle technologie vient ainsi résoudre les problèmes d’identification des diplômes dans les universités. C’est le résultat des travaux de recherche de plusieurs années déjà.  Comment procède-t-on ? « Il suffit de pouvoir enrôler un enfant dès sa naissance et on a déjà son identification. L’impression de ses documents plus tard peut se faire par ce procédé de veine, parce que le document sera authentifiable. En développant le sujet, on a compris qu’il solutionnait beaucoup d’autres choses, J’ai parlé des diplômes, il y a aussi tous les documents de valeur, les transactions bancaires, la sécurité, l’éducation entre autres » explique l’expert.

 Le Dr. JEAN LOUIS BENAE, neurochirurgien basé à Dalas, a  pour sa part, partagé son expérience dans le cadre de sa fondation Bring Project Fundation. Cette plateforme permet à ces camerounais qui y travaillent, de venir avec des experts dans différents domaines de la médecine, pour pouvoir améliorer les conditions de santé des camerounais «  pendant cette période, on a l’occasion de travailler avec les médecins locaux, on a apporté beaucoup de médicaments, des appareils médicaux, plein de centenaires, du matériel. Le plus important, c’est le pont d’échange intellectuel qu’on met en place, parce que, c’est quelque chose qui reste » explique Jean Louis Benae.

Cette échange à deux sens permet également à ces experts de la diaspora, d’observer les challenges auxquels les camerounais font face, ce qu’ils arrivent à réaliser avec de telles limites sur le plan des ressources et du matériel. Le promoteur du Cameroon Digital Boost Samuel Ervé Mandeng, veut inspirer la jeunesse camerounaise à travers ces différentes expériences.